Le royaume de Eric Buist >> Informatique >> Configuration informatique >> Le Salvator, successeur du Faucon de Fer | ||
Me contacter | Plan du site | |
<< L'assemblage | Installation de Microsoft Windows XP | Installation de Linux Fedora Core 4 >> |
Vendredi, 6 janvier 2006, tout me sembla fin prêt pour l'installation de Windows XP. Avant de commencer, je divisai le disque dur en partitions. Je dus me créer une disquette pour le Serial ATA, contrairement à ce que je croyais initialement, puis l'installation se passa comme un charme. Cela se passa suffisamment bien pour que je puisse envisager le transfert de mes données et de mon synthoniseur TV sur la nouvelle machine que je baptisai enfin le Salvator plutôt que le Faucon de Fer B.
Le partitionnement du disque dur est une phase délicate, car il est difficile, coûteux et risqué de modifier cette division dans le futur. J'utilisai le logiciel Partition Magic de PowerQuest pour cette tâche, car il peut créer des partitions de tous les types et je pensais qu'il ferait un formatage long, vérifiant la surface du disque. Il n'en fit malheureusement rien. Peut-être aurait-il fallu activer une option spéciale pour cela.
D'abord, j'allouai une partition de 30Go pour Windows et une seconde partition de 30Go pour Linux. J'en créai une troisième, encore de 30Go, cette fois-ci non formatée, pour permettre le test de systèmes d'exploitation. Un jour, cette partition accueillerait Windows XP édition x64, Windows Vista, Fedora Core 5, Debian, etc.
Les problèmes commencèrent au moment d'aménager la partition étendue qui avait une taille de 110Go. Je pensais que cette partition ne pouvait pas accueillir plus de quatre partitions logiques par analogie avec les partitions primaires et j'utilisai une de ces partitions pour le swap Linux. Je fixai la taille de la zone d'échange à 2Go, le double de ma mémoire. Il me restait donc 108Go à diviser en trois. La solution la plus simple consiste à diviser cet espace en trois parts égales, mais malheureusement, Linux vient causer ici un très sérieux problème: l'incompatibilité des systèmes de fichiers. Pour que les partitions lui soient accessibles en lecture/écriture, elles doivent être en FAT32 ou Extended. Or, je croyais que la taille d'une partition FAT32 ne peut pas excéder 32Go tandis que Windows ne lit pas le Extended. L'usage de NTFS résoud certes le problème, mais Linux ne pouvait pas, en janvier 2006, écrire sur un tel système de fichiers. Multiplions ce nombre 32 par 3 et nous obtenons 96Go, ce qui est inférieur à 108Go! Ainsi, je ne pouvais pas allouer tout mon espace en FAT32, du moins selon les informations dont je disposais.
Pour résoudre ce problème, je créai une partition de données communes en FAT32, d'une taille de 30Go encore une fois. Je créai ensuite une partition de 35Go en format NTFS et une partition Ext3 pour allouer l'espace restant. Ainsi, chaque système d'exploitation aurait sa propre grande partition de données en plus de sa partition système tandis qu'une zone commune existerait. Seule l'émergence d'un système de fichiers universel plus efficace que FAT32, utilisable sans logiciel commercial sous Windows comme sous Linux, permettra de mieux résoudre ce problème.
Une autre solution serait de faire un choix déchirant et de ne garder qu'un système d'exploitation. Pour pouvoir tirer parti de toute la puissance de mon imprimante et garder la possibilité de traiter les DVD Video, je serais alors contraint d'opter pour Windows XP et de tout formater en NTFS! Une possibilité serait alors de garder ma vieille machine et de lui installer Linux. Autre possibilité plus coûteuse: acheter un second ordinateur identique au premier (d'où l'importance d'élucider le mystère du dissipateur de chaleur LGA775 si je décide de retenter l'assemblage moi-même...) et d'avoir une machine par système d'exploitation. Par contre, il serait nécessaire d'installer un commutateur pour partager plusieurs périphériques (clavier, souris, haut-parleurs, peut-être l'imprimante et le numériseur). Ce commutateur à multiples ports, incluant des ports PS/2, USB et audio, risquait d'être difficile à trouver (à cause des ports USB) et coûteux. Quant à mon écran, le commutateur est déjà inclus puisqu'il comporte une entrée VGA et une entrée DVI. La vieille machine serait branchée en mode VGA tandis que la nouvelle, en mode DVI. Il restait également la connexion réseau posant problème. Solutions: demander à mon père de passer un second fil RJ45 dans le mur, essayer avec un concentrateur (hub) ou mettre une des deux machines sur du Wifi (sans fil, carte réseau Wifi PCI à acheter). Probablement que la machine Windows serait l'heureuse élue pour le Wifi afin de m'éviter encore du trouble avec Linux! Mais je renonçai à cette possibilité, car je souhaitais vendre le Faucon de Fer à mes parents pour écarter la machine Buist devenue trop lente et atteinte de son incurable syndrôme des bruits de picouille récurrents. Je n'avais pas non plus envie d'acheter une seconde machine neuve.
En fait, selon Upgrading and Repairing PCs 14th Edition, la table des partitions logiques dans la partition étendue est une liste chaînée si bien qu'elle peut (théoriquement) accueillir un nombre illimité de partitions logiques! En pratique, le nombre de partitions logiques se trouve limité à 23, car Windows ne peut rendre accessible que 26 disques par le biais des lettres de lecteurs, incluant le lecteur de disquettes et le lecteur de CD-ROM. En ajoutant le disque dur local sur lequel Windows est installé, il ne reste plus que 23 partitions logiques possibles. Ainsi, j'aurais pu me créer autant de partitions FAT32 de 32Go que nécessaire pour allouer l'espace de mon disque.
Mieux encore, selon le même livre, une partition FAT32 peut avoir une taille allant jusqu'à 2To (2 048Go!), ce qui dépasse très largement 32Go. Par contre, Windows 2000/XP ne peuvent pas formater des partitions d'une taille supérieure à 32Go. J'aurais bien pu formater mes partitions avec Linux et les voir accessibles, sans problème, sous Windows.
Ainsi, comme je le constatai dimanche, 22 janvier 2006, j'aurais pu formater tout mon disque en FAT32 et m'éviter que des parties soient inaccessibles à un ou l'autre des systèmes d'exploitation. Je songeai même repartitionner, mais je me rappelai d'un détail qui me fit changer d'avis: la limite de 4Go. Sur FAT32, aucun fichier ne peut dépasser la taille de 4Go tandis que de tels gros fichiers peuvent exister en NTFS et en Ext3. Je pourrais avoir besoin d'un fichier de plus de 4Go pour la gravure de DVD. De plus, il est fort possible qu'une distribution ultérieure de Linux soit offerte en image ISO DVD d'une taille excédant légèrement 4Go. L'usage de mon synthoniseur TV pourrait également produire de gigantesques fichiers que je devrais par la suite segmenter. Dans ces situations, seule la partition système pourra accueillir le fichier et l'espace libre sur cette partition tend à se faire rare, surtout sous Windows, avec le temps. Ainsi, avoir des partitions de données NTFS et Ext3 est extrêmement judicieux, tant que cela ne diminue pas trop l'espace disque accessible par le système d'exploitation. Dans le pire cas, le coût des disques durs en 2006 ne justifie pas l'adoption d'un système de partitionnement trop restrictif. Si Windows manque d'espace, je pourrais toujours ajouter un nouveau disque de 200Go ou plus, même si repartitionner mon disque actuel pourrait résoudre le problème! Il y a quatre plateaux dans mon boîtier et trois connecteurs Serial ATA sur ma carte mère qui ne demandent qu'à servir à quelque chose!
Vint ensuite le moment d'amorcer le CD de Windows XP pour entamer l'installation. J'allumai donc la machine, insérai le disque et redémarrai. L'amorçage se fit sans difficulté et le programme d'installation chargea différents pilotes pour ensuite afficher son écran de bienvenue. Tout se passa bien jusqu'à ce que j'appuie sur Entrée pour indiquer que je voulais débuter l'installation. Le système m'indiqua alors qu'il n'avait détecté aucun disque dur et qu'il ne pouvait pas continuer l'installation. Je pensais que le support du Serial ATA était inclus dans le Service Pack 1 et que Windows serait alors livré avec un pilote AHCI. Je me trompais, car même AHCI ne permet pas à Windows de trouver le disque dur sans un pilote additionnel. Cela m'inquiéta un peu, car il se pouvait qu'en fait, mon contrôleur Serial ATA ne soit pas AHCI et qu'alors, rien ne fonctionne sous Linux. En fait, ce qu'il faut à Windows XP pour s'installer sans disquette, c'est l'émulation PATA que j'avais choisi de désactiver au profit de AHCI.
Le pilote Serial ATA se trouve sur une disquette qu'il faut créer à partir du CD de la carte mère... sous Windows! Avant de rebrancher ma vieille machine ou faire un second essai sur l'ordinateur familial, je démarrai avec une disquette système et examinai le CD de la carte mère. Plus tard, je découvrirais qu'il est possible d'amorcer le CD de la carte mère et que ce CD contient un DOS. Il est donc possible d'éviter la disquette système pour amorcer la machine.
D'abord, je formatai une disquette en tapant format a: /u sous l'invite DOS. Je changeai ensuite la lettre du lecteur pour accéder au CD. Si je me souviens bien, c'était h: ou i:. Ensuite, la commande DOS dir m'afficha les répertoires du CD et je choisis d'explorer Drivers plus en détails. cd Drivers suivi de dir m'afficha donc une nouvelle liste. Je ne trouvais pas ide, le répertoire le plus probable pour un pilote Serial ATA. Étant donné que le contrôleur Serial ATA se trouve sur le jeu de puces, j'essayai le sous-répertoire Chipset. J'accédai ensuite au sous-répertoire Intel. Puis j'explorai le sous-répertoire MakeDisk étant donné que je souhaitais me créer une disquette. Je savais que je risquais de me retrouver confronté à un utilitaire ne pouvant fonctionner que sous Windows, mais je souhaitais tenter ma chance malgré tout. Rebrancher ma vieille machine serait long et harrassant juste pour créer une disquette tandis qu'utiliser la machine Buist reviendrait presque au même tant elle est rendue lente.
Le sous-répertoire DOS suscita mon intérêt: soit il me fournirait un utilitaire DOS pour créer la disquette, soit il permettrait de créer une disquette système DOS avec des pilotes Serial ATA. Le second cas était inutile, mais le premier pouvait me sauver la vie!
Un nouveau choix difficile s'offrit alors à moi: ICH732.exe ou ICH764.exe? Je choisis ICH732.exe, car c'était pour la version 32 bits de Windows! Je tentai de l'exécuter et obtins une série de messages d'erreur puisque c'était une archive auto-extractable qui tentait d'écrire des fichiers dans le répertoire courant. Je dus ainsi retourner sur ma disquette formatée (commande a:) pour ensuite taper i:.\ich732. Cela créa ma disquette SATA nécessaire pour installer Windows! Sur la disquette, le nom de certains fichiers incluait AHCI, ce qui me redonna confiance pour Linux. Ce problème aurait pu être résolu plus simplement si j'avais mieux examiné les menus sous Windows.
Je redémarrai ensuite le système pour de nouveau amorcer le CD de Windows XP. J'utilisai ensuite la touche F6 et suivis les instructions pour charger la disquette. Je me retrouvai alors avec une liste de plusieurs pilotes, encore un autre choix à faire! Je choisis le pilote AHCI pour ICH7 et par chance, ce fut le bon. L'installation de Windows se passa ensuite normalement. Je retirai la disquette SATA seulement au moment où le programme d'installation voulut redémarrer la machine. Le premier amorçage depuis le disque dur se passa sans difficulté et l'installation de Windows continua.
Au moment du premier amorçage du système d'exploitation installé, il y eut des ratés avec l'affichage. La moitié droite de l'écran était constellée de rayures, si je me rappelle bien horizontales, tandis que quelque chose de déformé s'affichait du côté gauche. Je crus que mon écran ne ferait pas le poids et que j'allais devoir le rebrancher en VGA plutôt qu'en DVI, voire le remplacer, mais Windows finit par lui trouver un mode graphique pour le stabiliser. Je finis par enfin obtenir une image!
Je dus ensuite utiliser le CD de la carte mère pour installer divers pilotes: jeu de puces, carte son et carte réseau. Rien de cela ne fut compliqué et tout se passa bien. Enfin, cette machine commençait à bien se comporter! Par contre, lorsque la carte réseau fut prise en charge, elle m'indiqua qu'aucun câble n'était branché. Je me rendis compte que je n'avais pas suffisamment enfoncé le câble dans la prise. Lorsque ce fut fait, cela fonctionna très bien. Quant à la carte son, je dus la configurer pour 6 canaux et le haut-parleur arrière gauche resta mystérieusement muet. Après des ajustements dans les fils, un redémarrage ou une combinaison des deux, le haut-parleur redevint fonctionnel. J'installai ensuite PC Probe pour pouvoir obtenir les informations de température et de vitesse de rotation des ventilateurs.
Il y eut ensuite le cas de la carte graphique. Encore une fois, cela se passa très bien. Pour des raisons mystérieuses, mon écran afficha Pas de signal pendant un bout de temps lors du changement de résolution, mais il finit par obtempérer et une image en 1280x1024 (résolution native de l'écran) apparut.
Après avoir testé la machine vendredi après-midi, 6 janvier 2006, je considérais qu'elle était suffisamment stable pour pouvoir accueillir mes données et mon synthoniseur TV. Elle n'a pas planté pendant l'installation de Windows et a très bien fonctionné lorsque j'ai joué à Myst IV.
En fin d'après-midi, j'ai donc effectué le transfert de mes données. J'ai pour cela branché ma vieille machine sur mon routeur et envoyé les fichiers par réseau. Pour une raison inconnue, Salvator ne voulut jamais accéder à Faucon de Fer par le réseau Microsoft, mais l'inverse fonctionna! Décidément, il me faudra une meilleure technique de transfert de fichiers que ce protocole-là, car il bogue très régulièrement. Grâce à mon réseau 100Mbps, le transfert a été assez rapide. J'ai ainsi pu recopier mes fichiers musicaux, mes documents et mes travaux d'université, sans passer par une disquette, ma clé USB ou un disque compact. J'aurais aussi pu tenter une transplantation temporaire de disque dur, mais retirer le disque dur du Faucon de Fer était assez compliqué. Il m'aurait fallu pour cela, comme en 2003, retirer la carte graphique.
Le transfert de synthoniseur TV a eu lieu samedi matin, 7 janvier 2006. J'éprouvais une certaine crainte à rouvrir ma machine puisqu'elle avait très bien fonctionné jusque-là et je ne voulais pas la détraquer. Pourtant, pour que Salvator devienne mon ordinateur principal, il devait comporter un synthoniseur TV.
D'abord, j'examinai le travail du technicien et parvins à retrouver, dans ce labyrinthe de fils, le connecteur pour la lumière bleue qui ne s'allumait pas. Ce ne fut pas chose facile, car les fils avaient été attachés ensemble pour éviter qu'ils n'obstruent le ventilateur à processeur et je ne souhaitais pas retirer l'attache, craignant de ne pas pouvoir la remettre par la suite. Je raccordai le fil de la lumière bleue à un connecteur du bloc d'alimentation. Je branchai aussi le power fan pour obtenir la vitesse de rotation du ventilateur du bloc d'alimentation. J'apprendrais ainsi que ce ventilateur tourne environ à 1000 tours par minute. Ceci est la vitesse du ventilateur arrière du bloc, qui souffle de l'air du boîtier vers l'intérieur de l'unité, tandis que le ventilateur avant, dont la vitesse ne peut pas être mesurée par la carte mère, est normalement inactif. Ce ventilateur avant soufflant de l'air vers l'extérieur, toujours activé sur bon nombre de blocs d'alimentation, ne s'active sur mon bloc Antec que lorsque la température est très élevée.
Les branchements effectués, j'allumai la machine pour tester que ce simple ajustement n'avait rien fait sauter et par chance, cela fonctionna. En cas de défaillance, j'aurais été forcé de tout rapporter au magasin et de m'acheter un nouveau synthoniseur, modèle USB, pour éviter d'avoir à planter une carte PCI dans la machine! Pire encore, cette expérience aurait pu me rendre trop craintif pour installer quoi que ce soit dans une machine, à l'avenir.
Vint ensuite le moment d'ouvrir ma vieille tour et d'en extraire le synthoniseur TV. Cela se passa très bien, trop bien peut-être. Je plaçai le synthoniseur sur mon bureau et refermai la tour. Ensuite, j'installai la carte dans la fente PCI centrale de ma nouvelle machine, afin de laisser un bon espace entre elle et la carte graphique. Puis j'allumai la machine.
Un nouveau bogue apparut alors: mystérieusement, la machine planta au démarrage. Elle me refit ce coup quelques autres fois et eut du mal à entrer dans le setup du BIOS. Heureusement, appuyer CTRL+ALT+DEL et faire une nouvelle tentative suffisait pour rétablir la situation. Néanmoins, cela m'inquiétait et il me faudrait, éventuellement, résoudre ce problème. Dimanche matin, 8 janvier 2006, je tentai de modifier le temps de détection des périphériques IDE, le faisant passer de 35s à 10s, mais cela ne changea rien. J'examinai aussi la possibilité d'un conflit d'IRQ entre ma carte TV et une autre composante du système. Je dus écarter cette hypothèse, car la carte TV ne partage pas son IRQ dans la fente où elle se trouve.
Malheureusement, le bogue revint régulièrement, pratiquement à chaque démarrage de la machine. Pendant trois mois, pratiquement à chaque fois que le bogue revenait, je grinçais des dents en pensant que la seule solution pour l'enrayer complètement serait de retirer mon synthoniseur TV, retirer ma carte graphique NVIDIA, installer une carte graphique ATI All-In-Wonder PCI Express (avec synthoniseur TV intégré) et espérer qu'au moins l'accélération 2D fonctionnerait sous Linux.
Dimanche, 12 mars 2006, une nouvelle hypothèse me vint à l'esprit: se pourrait-il que ce soit le connecteur power fan? Plutôt que tenter de le débrancher, j'essayai, dans le setup du BIOS, de désactiver son effet. Pour ce faire, dans l'onglet Power, j'accédai à Hardware Monitor. Je configurai alors l'option Power fan sur Ignore plutôt que sur la vitesse de rotation. Le démarrage se fit alors normalement! J'aurais également pu résoudre le problème en débranchant le connecteur puisque ce dernier ne sert qu'à communiquer la vitesse de rotation à la carte mère. Le bloc d'alimentation alimente le ventilateur en électricité, que le fil soit branché ou pas.
Le problème semble dû au fait que le BIOS attend que le ventilateur du bloc d'alimentation ait atteint une certaine vitesse avant de démarrer le système. Toutefois, en raison de la conception de mon bloc d'alimentation Antec, le ventilateur n'a pas besoin de tourner aussi vite que pour les autres blocs. En indiquant au BIOS d'ignorer la vitesse de rotation du ventilateur, j'ai contourné cette incompatibilité mineure entre ma carte mère et mon bloc d'alimentation. Cette hypothèse a été étayée par le fait que, samedi, 18 mars 2006, Asus PC Probe a signalé un problème de ventilateur de bloc d'alimentation lorsque j'ai tenté de le démarrer. Le logiciel me rapportait pourtant une vitesse de rotation «normale» de 1000 tours par minute, environ. Ce bogue n'avait donc aucun lien avec mon synthoniseur TV et le bus PCI de ma carte mère, ce qui est un soulagement, une bénédiction, même!
L'installation des pilotes Hauppage se passa très bien et le synthoniseur fonctionna #1, y compris la télécommande. La machine continua de bien fonctionner et ne planta pas une seule fois!